GAGNER LA BATAILLE ! (paroles / musique : Jacqueline Labeyrie /Olivier Griva )
Partie I
La douleur du présent
Rien n’est plus comme avant
Ne plus avoir le temps
Ne plus y croire vraiment
Je l’ai vécu un jour
Malgré tout ton amour
L’envie d’abandonner
La bataille engagée
Refrain
Se dire qu’on gagnera
et Qu’on y arrivera
Combattre sans mensonge
le crabe qui nous ronge
qui nous ronge
Partie II
Volonté de lutter
Pour Garder sa dignité
En cachant toute sa douleur
Tout au fond de son cœur
Se battre contre la bête
Réagir et admettre
Qu’il reste toujours l’espoir
Et Chasser ses idées noires
Refrain
Se dire qu’on gagnera
et Qu’on y arrivera
Combattre sans mensonge
le crabe qui nous ronge
qui nous ronge
Partie III
Ne pas baisser les bras
Engager dans le combat
Et pour gagner la bataille
Tenir vaille que vaille
Toujours garder l’espoir
Y croire et le vouloir
Et terminer vainqueur
Retrouver le bonheur
Refrain
Se dire qu’on gagnera
et Qu’on y arrivera
Combattre sans mensonge
le crabe qui nous ronge
qui nous ronge
Les filles de Galway - Olivier Griva / Sylvain Lambert
Partie I
Les filles de Galway Que sont-elles devenues
Des coeurs à prendre Des âmes mises à nue
Au pays de Galway J'étais déjà venu
Dans cette Irlande Aux rêves révolus
Au comptoir appuyé je me suis souvenu
D'hommes qui chantent au regard perdu
Aujourd'hui à Galway La musique continue
Sans la voix lente Des marins vaincus
Refrain
Des Guiness fières Comme ces filles qui touchent
Mon regard et mon verre Les lèvres sur la mousse
Des Guiness fières Comme ces filles qui touchent
Mon regard et mon verre Les lèvres sur la mousse
Partie II
Dans le coeur de Galway Les couleurs de la rue
Couvrent une histoire Jamais disparue
Dans le coeur de Galway Les gens sont parvenus
À faire du noir Un vert absolu
Refrain
Des Guiness amères Comme le baiser de ces rousses
Où le vent de la mer Souffle de leur bouche
Des Guiness amères Comme le baiser de ces rousses
Où le vent de la mer Souffle de leur bouche
Partie III
À force de payer Ils ont la retenue
De ne pas boire aux espoirs déçus
Et les filles de Galway Au sourire résolu
Viennent au comptoir En robes fendues
Refrain
Des Guiness entières Pour ne plus avoir la frousse
De ces filles aux yeux clairs Et aux lèvres rouges
Des Guiness entières Pour ne plus avoir la frousse
De ces filles aux yeux clairs Et aux lèvres rouges
Fin
Les filles de Galway Que sont-elles devenues
Des coeurs à prendre Des âmes mises à nu
Les filles de Galway Que sont-elles devenues
Des coeurs à prendre Des âmes mises à nu
Ad …
Faut plus d’gouvernement – (O.G)
Partie I
À chaque coin de rue Le travailleur surpris
Sur l’affiche se rue Des candidats d’Paris
On voit beaucoup d’promesses Écrites sur le papier
Mais l’peuple ne vit pas d’messes Alors ça l’fait crier
Mais quand il est élu, Ça n’est plus la même chose
Il vous tourne le cul ! Certains énergumènes
Débitants de discours, Vous redisent les rengaines
Qu’on entend tous les jours
Qu’on entend tous les jours
Moi j’suis un mec honnête, Moi j’suis pas qu' un érudit
Mon copain est intègre, Mais l’populo leur dit …….
Refrain
L’gouvernement d’Ferry était un système pourri
Ceux d’Floch et de Constant, Sont aussi dégoûtants
Carnot ni Boulanger, N’y on rien pu y changer
Pour être heureux vraiment, Faut plus d’gouvernement
Le gros ventre qu’engraisse, L’suffrage universel
Vient vous battre la grosse caisse, Comme monsieur Gérodel
Partie II
Il vous promet tout rose, Même des socialistes
Membres de comités, Soutiennent des fumistes
Qui s’portent députés, Y’a pas à s’y méprendre
Qu’ils soient rouges, bleus ou blancs, Il vaudrait mieux les pendre
Que d’leur foutre vingt-cinq francs, Tu leur paies des ripailles
Toi peuple souverain, Et lorsque tu travailles
À peine as-tu du pain, Ne sois donc plus si bête
Au lieu d’aller voter, joue pas les marionnettes
Refrain
L’gouvernement d’Ferry était un système pourri
Ceux d’Floch et de Constant, Sont aussi dégoûtants
Carnot ni Boulanger, N’y on rien pu y changer
Pour être heureux vraiment, Faut plus d’gouvernement
Le gros ventre qu’engraisse, L’suffrage universel
Vient vous battre la grosse caisse, Comme monsieur Gérodel
De toute cette histoire, Voici la conclusion
L’électeur c’est notoire, N’a pas tout’ sa raison
J’n'aim’ pas le fataliste, Je n’ai ni foi ni loi
Je suis abstentionniste, amis voila pourquoi
alors voila pourquoi……
Ad…..
Les titres sont au mastering. Bientot en libre écoute par ici.
Toutes les oeuvres ci dessous sont protégées par leurs auteurs, compositeur.
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L’écharpe qu'elle portait (Hamoudi Lemkak – Olivier Griva)
Partie I
Vous en souvenez vous
Je parlais d’un combat
Qui en valait la peine
On en parle tout bas
Dans ces vies qu’on mène
Sans savoir pourquoi
De ces vies pour les quelles
Il faut faire un choix
Partie II
Vous en souvenez vous
Je parlais d’un mouchoir
Et dans ce mouchoir
Nous tenions la victoire
Je disais vous pouvez
Le déchirer en mille
Ce sera nous encore
Jusqu’à son dernier l
Refrain
Dans ces vies qu’on mène
Sans savoir pourquoi
De ces vies pour les quelles
Il faut faire un choix
Dans ces vies qu’on mène
Sans savoir pourquoi
De ces vies pour les quelles
Il faut faire l’bon choix
Partie III
Vous en souvenez vous
Je parlais de la terre
Je disais le printemps
Viendra tuer mes hivers
Et pour moi juste hier
Le printemps renaissait
Quand elle a retiré
l’écharpe qu’elle portait
Refrain
Dans ces vies qu’on mène
Sans savoir pourquoi
De ces vies pour les quelles
Il faut faire un choix
Dans ces vies qu’on mène
Sans savoir pourquoi
De ces vies pour les quelles
Il faut faire l’bon choix
Ad
PAUVRE MONDE ! - (Jacqueline LABEYRIE Olivier Griva)
Partie I
Il y a des gens qui naissent
Avec dans leur berceau
Des joies et des promesses
Servies sur un plateau
Il y a des gens qui naissent
Avec dans leur berceau
Le doute et la tristesse
Loin de la vie d’château
Pauvre monde x 2
Refrain
Vivre au jour le jour
Sans savoir si demain
Ce sera notre tour
D’avoir froid d’avoir faim
Partie II
Les uns ont une famille
Et vivent dan la quiétude
D’autres ont le cœur en ruine
Et vivent la solitude
Ils voudraient bien sourire
Sortir de leur déprime
Mais la vie les attire
Vers le manque d’estime
Pauvre monde x 2
Refrain : x 2
Vivre au jour le jour
Sans savoir si demain
Ce sera notre tour
D’avoir froid d’avoir faim
Partie III
Comment est-il possible
Que tant de différence
De règles inadmissibles
Engendre tant de souffrance
On nous dit tous égaux
Tous égaux dans ce monde
Mais tout ceci est faux
La tristesse est profonde
Pauvre monde x 2
Refrain : x 2
Vivre au jour le jour
Sans savoir si demain
Ce sera notre tour
D’avoir froid d’avoir faim